blabla

Epilation à la lumière pulsée : l’IPL Panasonic + bilan après 5 mois

Helloitsvalentine_IPL_Panasonic_8♫♪ Java – Le poil ♫♪

Article attendant patiemment dans mes brouillons depuis cinq mois… Oui, rien que ça ! J’ai repoussé la date de publication car le sujet “poils” n’est pas forcément simple à aborder sur internet. Pourtant, j’aime vous parler franchement et je sais que vous aimez mes posts de blog “bla bla” (comme je les appelle) dans lesquels je vous parle sincèrement de choses et d’autres. De toute façon, j’aurais trouvé dommage de zapper le sujet “poils” par fausse pudeur ou gêne idiote. Nous sommes toutes nées avec des poils, plus ou moins foncés, plus ou moins abondants, mais ces enquiquineurs font parti de nous, qu’on le veuille ou non !
Du coup, après cinq mois d’utilisation du produit, je suis contente de pouvoir vous en parler avec une vraie expérience personnelle et un bilan à la clé. Finalement, d’avoir mis le temps, ça a parfois une conséquence utile. Cerise sur le duvet, j’ai 5 épilateurs à vous faire gagner ! Rendez-vous en fin d’article pour plus d’infos.

Helloitsvalentine_IPL_Panasonic_2 Helloitsvalentine_IPL_Panasonic_2_2A l’automne dernier, Panasonic m’a proposé de m’envoyer son nouvel épilateur à lumière pulsée, contre une publication rémunérée sur mon blog. Autant le dire tout net, car même si je précise systématiquement par un [article sponsorisé] en fin d’article publicitaire, je crois que de l’annoncer en toute fin de post est mal perçu par certaines… Mon bla bla sur mon activité de blogueuse est à lire, si le sujet vous intéresse. Celui-ci aborde également le sujet.

Etant d’une nature douillette avec deux arrières grands-mères espagnoles (¡ Muchas gracias !) le sujet “poils” ça me parle. Disons pour faire court que j’ai testé absolument toutes les méthodes d’épilation existantes, et qu’aucune ne me convient car ça fait trop maaaaaal. Aussi, quand j’ai appris l’existence de l’objet en question, j’ai été très curieuse de le tester. Tient-il réellement ses promesses de repousse ralentie du poil ? On ne parle évidemment pas d’épilation définitive au laser, mais plus on utilise le ES-WH80 (de son petit nom) moins les poils font les malins en revenant nombreux.

On peut l’utiliser sur le corps uniquement (bras, aisselles, jambes et maillot) il est fortement déconseillé sur le visage et sur les muqueuses. Avant d’utiliser l’appareil, il faut se raser, afin que la lumière pulsée atteigne bien la racine du poil. Pas d’autres manières de faire, oubliez l’épilation pour l’utiliser correctement. Concernant la fréquence, vous pouvez utiliser l’IPL toutes les deux semaines environ, mais soyez consciente qu’il faut de la patience et être régulière dans votre utilisation : plus vous l’utiliserez dans le temps (on parle d’années, je suis donc loin du compte) plus votre peau sera douce et moins les poils repousseront.

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Les 600 flash par charge permettent de faire toutes les zones du corps sus-citées en une fois : super pratique de ne pas avoir à recharger l’appareil à chaque fois que l’on veut l’utiliser ! Pour le faire fonctionner, il n’y a pas besoin d’appuyer sur un bouton, le flash se déclenche au contact de la peau. Il suffit donc d’appuyer sur la zone poilue et de faire glisser… Bye les poils !
Autre point important : tout comme le laser, l’IPL fonctionne mieux sur les poils foncés et les peaux clairs. Il y a 5 niveaux d’intensité selon différentes carnations de peau et de poils. A vous de comparer en fonction et d’adapter le réglage au mieux, en démarrant par le niveau 1 pour un test. Les peaux sensibles ne craignent rien, promis. Pour celles qui préfèrent les vidéos/ tutos pour mieux comprendre, celle ci est très bien réalisée.

Helloitsvalentine_IPL_Panasonic_3 Après environ 5 mois d’utilisation, mon bilan est clair : mes poils aux pattes sont plus fins, repoussent en moins grand nombre et j’espace nettement les séances de rasage sous la douche. Notez bien que l’épilation à la lumière pulsée ralentit le cycle du poil et ne détruit pas son bulbe. Il convient simplement d’être constante dans l’utilisation de l’IPL, surtout si vous souhaitez faire des économies sur le long terme, en matière d’épilation. Enfin, ça, c’est vous qui voyez !
Je ne parle pas des autres zones du corps, car j’ai été bien moins assidue et ai privilégié les demi-jambes, personnellement. Mais nul doute que les résultats soient positifs, si on ne zappe pas sa séance hebdomadaire de lumière pulsée.

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J’offre donc 3 IPL Panasonic à 3 d’entre vous habitant en France Métropolitaine, et 2 sur Instagram. Valeur de l’appareil 299€. Pour participer, laissez-moi un seul commentaire par adresse IP (je les vois, pas de triche possible) en me racontant brièvement pourquoi vous voudriez tester cet appareil. Laissez moi une adresse e-mail valide et votre prénom dans les champs prévus à cet effet. Moi seule peut voir votre email, mais s’il vous plait, utilisez une adresse perso et non pro : je reçois beaucoup trop de mails me demandant de retirer votre commentaire laissé en 2011 sous X article, car votre identité “remonte” dans Google. Merci !
Désignation des 3 gagnantes dimanche 13 mars, ici, en fin d’article ! J’enverrai également un mail aux 3 gagnantes le jour même. Bonne chance !
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[article sponsorisé]
EDIT DU 17 mars 2016
Les 3 gagnantes tirées au sort sont 
maryse.quinqueton@gmail.com
alice.gallo.84@gmail.com
jeanne.boutesocq@live.fr
Bravo à vous et un immense merci à toutes les autres participantes !

Réflexions sur mon activité de blogueuse

Helloitsvalentine_home_1Cet article “humeur”, j’y réfléchis depuis quelque temps. Peut-être parce qu’en ce moment je cogite plus que le reste de l’année, à quasiment hiberner au chaud dans notre chez nous… J’avais envie de partager ces réflexions, car étant transparente avec vous depuis le début, je divulgue néanmoins rarement mes pensées. Ou alors sur des sujets précis et éthiques, qui me touchent. Les lire (ou relire) ici. Notamment celui ci, où je vous parle à coeur ouvert.
Je constate qu’il devient de plus en plus compliqué de bloguer sereinement. Par là, j’entends : proposer du contenu varié, intéressant, de qualité, tout en étant pas trop sponsorisé (gagner de l’argent dérange, en France) et en gardant sa ligne éditoriale droite comme un i, tout en évitant les critiques. D’une nature assez détachée, je ne suis pas une fille qui se prend beaucoup la tête d’ordinaire. Je suis loin d’être perfectionniste, mon tempérament est plutôt cool si on ne me brusque pas et qu’on me laisse le temps de faire les choses comme je l’entends.

Heureusement, la majorité de mes lectrices m’encourage sans cesse, est bienveillante et positive ! Mais le contexte et le “climat” des blogs ne s’arrange pas tellement avec le temps, et je ne fais pas référence qu’aux blogs axés mode. Tous les thèmes (voyage, beauté, maman, cuisine…) sont sujets à pas mal de remises en question de la part de leurs auteurs, quasiment tous confrontés à des conflits, des attaques directes, des insultes, de la diffamation, du plagiat parfois… C’est assez hallucinant, je pense que vous n’avez pas idée de ce qui peut se tramer en “coulisses” derrière ce que l’on publie.

Helloitsvalentine_home_2J’en viens donc au principal sujet de ce post : tenir ce blog. Auprès de certain(e)s il semblerait que “bloguer” soit un mot méprisable, honteux. Ce que je ne comprends sincèrement pas. Blogueur est un nouveau métier et ce qui est nouveau, donc mal compris, dérange, effraye, est critiqué et moqué. On dirait que, dans l’esprit de pas mal de gens, tenir un blog et en vivre est une arnaque, facilement tourné en dérision. Il en va de même pour les YouTubeurs cela dit. Car bon, pour montrer ses tenues ou sa façon de se maquiller face caméra et ne faire que ça se ses journées, ce n’est pas ça, travailler… Ahem.
Mais à mon sens, le plus triste est que les principaux ennemis des blogueurs sont les blogueurs eux-mêmes ! Les pires critiques et attaques personnelles que l’on peut voir passer au sujet des blogueurs proviennent de personnes qui font exactement la même chose de leur temps libre. Cela m’échappe sincèrement, que la mesquinerie soit aussi présente et récurrente dans le domaine. La bienveillance existe, mais je ne saurais dire si elle contrebalance vraiment l’animosité qui plane dans la fameuse “blogosphère” comme on dit.
Dur certains jours, de garder ma motivation, mon entrain, mon envie de continuer sans se poser dix mille questions sur ce que j’attends de mon activité, vu l’importance énorme qu’elle tient dans ma vie.

Helloitsvalentine_home_7En démarrant ce blog il y a six ans et demi, sur le PC de mon amoureux, j’étais loin, très loin de m’imaginer la suite des événements. Au départ, j’ai lancé “Hello it’s Valentine” pour partager mes photos d’un peu tout et n’importe quoi, car prendre des clichés avec mon petit appareil photo numérique m’amusait. J’avais fermé ma page Myspace quelques mois auparavant et je cherchais un nouveau support un peu plus personnel pour publier ce qui me tenait à coeur. J’y ai passé du temps, j’y ai mis de l’énergie, cherchant sans cesse de nouvelles choses à poster dessus, tout en commençant à me passionner pour les vélos un peu “custom”, uniques, en même temps que mon copain. Mon but était de m’améliorer en photo, d’essayer plein de réglages sur le réflex Nikon entrée de gamme que j’avais, ce qui a donné lieu à pas mal d’expérimentations pas toujours réussies visuellement. Ah !

Helloitsvalentine_home_5Dans la foulée, je suis passée de graphiste et webdesigner employée à temps plein, à Auto Entrepreneur, pour travailler de façon plus libre dans ce domaine et ne plus être employée de bureau au sens propre du terme. Les premières propositions rémunérées de la part de marques sont arrivées à cette période là, soit plus de trois ans après avoir ouvert ce blog. J’ai été tellement enthousiasmée, j’ai ressenti beaucoup de fierté à ce qu’on me sollicite de façon professionnelle, pour ce que je savais faire ! Quand on décide de faire les choses correctement en solo, c’est un processus un peu fastidieux, mais j’ai appris sur le tas.
Bientôt, j’ai réalisé que je n’avais plus très envie ni le temps d’allier boulot de graphiste ET blog à côté, que je pouvais me permettre de lâcher le webdesign pour me mettre à temps plein sur mon site. Mes parents ont eu un peu peur de ce saut dans l’inconnu, à dire vrai je n’étais pas complètement sereine non plus, mais les mois ont passé et j’ai continué sur ma lancée.

Helloitsvalentine_home_3Bloguer c’est être un couteau suisse à part entière : on est à la fois rédacteur, community manager sur les réseaux sociaux, styliste, photographe (en ce qui me concerne, je prends les trois-quart des photos que vous voyez ici, seule avec mon trépied) “modèle”, graphiste, parfois webmaster (personnellement j’ai passé la main à un vrai pro en la matière, ce n’est pas mon job du tout) commercial, comptable, on doit savoir se “vendre” et être également modérateur de commentaires reçus.
Je pense ne rien oublier dans cette liste, en tout cas en ce qui me concerne cela représente ces multiples tâches, que je gère quotidiennement et sans aide. Cela dit, c’est loin de me déplaire et je n’ai pas du tout envie de déléguer, d’avoir un(e) stagiaire ou encore de renouer avec un agent ou une régie publicitaire. Tenir un blog personnel est un job personnel. Je ne me suis jamais sentie aussi libre !

Loin de moi l’envie de me jeter des bouquets de fleurs, mais j’avais simplement envie de rappeler et de souligner que ce job, que je n’ai au départ pas choisi et qui m’est plus tombé dessus qu’autre chose, est une aventure formidable. Aventure qui ne serait pas ce qu’elle est sans les nombreux obstacles qui se mettent quotidiennement en travers de ma cyber route, car le positif ne va pas sans le négatif. Mais, où est-ce que cela me mène, réellement ? Je me pose la question chaque jour.

Helloitsvalentine_home_4Bloguer m’apprend tellement. C’est un tourbillon de bonheur que je défends bec et ongles pour qu’il ne soit pas entaché par la jalousie et la bêtise de quelques trouble-fête. Ils sont peu nombreux mais fidèles, jamais en retard d’une méchanceté balancée, planqués derrière leur ordinateur et un anonymat tout relatif. Mais quand on s’expose, on s’expose à tout : le positif comme le négatif. Je l’ai intégré et ne perd plus jamais une seconde de mon temps à “batailler” contre des gens qui ne vivent apparemment que pour essayer d’assombrir l’humeur d’autrui.
Les blogueurs font partie des groupes d’influence culturelle, nous faisons vivre l’échange social via différents vecteurs et sommes suivis pour ça. Dans mon cas, puisque je suis mon propre patron et ne dépend donc d’aucun journal ou entité qui puisse me servir de couverture, je dois considérer que les attaques que je reçois sont formulées non seulement contre ma personne mais également contre ma marque. Oui, “Hello it’s Valentine” est devenu une marque déposée à l’INPI. Le nom est donc protégé et mes photos ne sont pas libres de droit, comme cela est stipulé tout en bas de mon blog. Je pisse sûrement dans un violon auprès de certaines (désolée pour l’expression) qui croient que la Loi ne s’appliquent pas à elles, mais c’est pourtant interdit de se servir ici en visuels, surtout pour en faire un usage… déplorable.

Alors, où est-ce que tout cela me mène ? Je n’ai pas encore la réponse, mais croyez bien que je réfléchis pas mal à la suite, à “l’après blog”, car cela arrivera. Il me semble peu probable que ce support dérive de sa ligne éditoriale pour devenir un blog “jardinage” ou “maman”… ce n’est pas du tout ce à quoi j’aspire. En tout cas, même si je vous le dis souvent et au risque de sembler redondante : MERCI.
Merci à vous de me lire, d’être là, souvent dans l’ombre, mais parfois plus bavarde et désireuse de partager votre avis avec moi. Cela me touche de vous savoir présentes, malgré la barrière du virtuel, malgré le fait que vous en savez bien plus sur moi que je n’en sais sur vous. C’est une chouette aventure, qui me rend plus forte chaque jour, grâce à vous qui me lisez et commentez.
Je ne suis certaine de rien, en ce début 2016, sinon que j’apprends chaque jour et suis infiniment reconnaissante pour tout ce qui m’arrive de génial. Ce n’est que le début.
Helloitsvalentine_home_8Top “Petitloup” via Paul & Joe Sister
Jean Asos Petite
Montre « Watch Hunger Stop » via Michael Kors
Laptop ZenBook UX305 via Asus France
Bouquet de fleurs “Nosy be” via Bergamotte
Coussins à pois H&M Home, noir & blanc Ikea, ceux en velours céladon ?

La poupée qui fait non

Helloitsvalentine_Anthropologie_Colonnes_Buren_1Vous connaissez la chanson “La poupée qui fait non” de Michel Polnareff ? Je me retrouve un peu dans le titre de cette chanson vintage, car je suis actuellement dans une démarche de tri par le vide chez nous. C’est difficile car sans fin, je n’en vois pas le bout. Quotidiennement, je refuse des colis surprises, des envois divers, des vêtements (en fourrure et cuir, notamment) et prends même le temps d’expliquer en réponse à de très nombreux mails, comment fonctionne mon blog.
J’ai la désagréable impression que dans l’esprit de beaucoup de marques et créateurs, un blogueur est un homme-sandwich qui va promouvoir tout et n’importe quoi gratuitement, avec le sourire et des photos fournies par la marque. Genre publi-rédactionnel de presse. Je caricature à peine, trop souvent les demandes reçues me choquent par leur contenu hors sujet, mais surtout, le fait que la personne n’ait même pas pris le temps de consulter mon blog deux secondes en amont de son mail.
Quant aux mails groupés, impersonnels, où parfois nous sommes 47 blogueuses en copie non cachée, c’est un peu la cerise sur le cupcake du foutage de g*eule. Je suis la seule à trouver cela irrespectueux, dans une démarche de gain de temps ? Un job basé sur la communication prend du temps et personne n’aime être considéré dans un groupe, et non en tant qu’individu propre.

Quand j’étais graphiste et que je cherchais du travail (cela m’est arrivé à plusieurs reprises) je n’envoyais jamais de mail groupé. Une demande d’emploi ou de partenariat doit être ciblée, personnalisée. On s’adresse à cette agence, cette blogueuse, cette personne. Les mails groupés sont un gain de temps pour l’expéditeur, mais dénotent d’une certain manque de savoir vivre, car nous sommes tous différents et proposons chacun un contenu exclusif.
Cette citation “The way you allow yourself to be treated is a reflection of how you value yourself” (“La façon dont vous permettez à autrui de vous traiter est le reflet de la façon dont vous vous estimez“) me correspond parfaitement, car j’ai de plus en plus de mal à accepter certaines choses, certains comportements. L’estime de soi est un vaste sujet, autant que peut l’être la confiance en soi. Si ce blog m’a appris une chose, c’est à ne jamais me dénigrer, à ne pas rougir de ce que je sais faire et la façon dont je le fais. En l’occurrence, je n’accepte plus que quelqu’un d’autre que moi gère mon travail, mes rendez-vous, mes collaborations. J’ai appris en étant chaperonnée, prise par la main, accompagnée, mais ce temps là est révolu. J’ai pris confiance en moi, en ma valeur, en mes capacités. Je continue d’apprendre et de faire des erreurs, mais je ne peux m’en prendre qu’à moi-même désormais. Aujourd’hui, quand je reçois des propositions complètement à côté de la plaque, je ne me tais plus. Quitte à passer pour quelqu’un de vindicatif, car il est trop facile de ne pas répondre, d’esquiver en supprimant simplement le mail. Sauf que la personne en face se dira certainement que “décidément, ces blogueuses, quelles pimbêches à ne pas répondre !” Ce n’est pas vrai -en ce qui me concerne- et je préfère dire les choses, communiquer. D’ailleurs c’est un peu la base d’un blog : l’échange, le partage. En fait, je crois simplement que je déteste perdre mon temps et qu’on essaye de m’en faire perdre. C’est sûrement ce qui m’agace le plus dans la vie car elle est courte !!!

Parenthèse “coup de gueule” refermée, mais j’avais besoin de partager ce léger ras-le-bol avec vous, qui ne connaissez peut-être pas les coulisses d’un blog. Tout n’est pas parfait, tout ne coule pas de source comme c’est peut être l’impression que cela donne, vu de l’autre côté de l’écran. J’ai bien conscience que d’écrire cela ne changera rien, les gens qui veulent de la visibilité (gratuite, de préférence) continueront de ne pas lire les blogs qu’ils contactent, en désirant une mise en avant gracieuse.

Pour finir sur une note positive, il y a heureusement bien plus de choses enthousiasmantes et très cool qui m’arrivent, notez bien. Je ne râle quasiment jamais, car cela ne sert à rien : des mails hors sujet, je vais continuer d’en réceptionner par pelletées entières. Les gens continueront de cibler 47 blogueuses en même temps, sans en rougir (avec parfois Garance Doré dans la boucle, l’espoir fait vivre ! ^^). Pour ma part, je continue de garder ma bonne humeur et de répondre en expliquant ma façon de procéder, la manière dont je travaille, sans me prendre au sérieux pour autant.
Ce look que je vous présente, est entre autre composé d’une robe Anthropologie, enseigne que j’adore de tout mon cœur. Enseigne qui m’a un jour fait confiance et proposé de travailler sur le long terme. Une collaboration gracieuse certes, mais qui m’emplit de joie, leur style de produits correspond en tous points à ce que j’aime et suis fière de vous présenter. Ils n’ont par exemple aucun article de fourrure, tout est en synthétique. Rien que pour ça : YAY !
Quant aux boots “grrraouuu”, j’ai craqué dessus à l’occasion de la sortie de la nouvelle collection Sarenza (leur marque propre) Automne-Hiver 2015 ! Il y a 3 nouvelles sous-collections, inspirées des quartiers parisiens… elles sont présentées ici.
Un look rétro cool parisien effortless bohème chic, qui vous plaira je l’espère ? Haha, je ne sais pas qualifier mon “style”, mais ça me fait rire d’essayer.

♫♪ Michel Polnareff – La poupée qui fait non ♪♫

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Boots “Chantilly Chérie #8” via Sarenza
Sac PS11 Proenza Schouler
Béret Monoprix (old)
Lunettes de soleil Clubmaster oversize Ray Ban
Collier via Loveless Paris et Astrid & Miyu
Montre Gold-Tone Runway Oversized Watch Mk8077 Gold Michael Kors

10 gestes écolos au quotidien

Helloitsvalentine_1Cela faisait un moment que cet article me trottait dans la tête. J’essaye au maximum d’avoir des réflexes écologiques au quotidien et j’avais envie de les partager avec vous, sous forme de conseils ou astuces. Alors, je ne révolutionne rien, mais nous sommes tous humains et pouvons oublier ou être paresseux parfois. Aussi, ces dix points sont à prendre comme une sorte de pense-bête des petites choses essentielles à intégrer et partager autour de soi, transmettre à ses enfants, discuter entre amis ou collègues.
L’écologie, pour vous : c’est acquis ou peut mieux faire ?

♫♪♫ Zouk Machine – Maldon’ ♪♫♪

1 – L’eau

Stop au filet d’eau qui coule inutilement du robinet ! Qu’on se brosse les dents au lavabo (soit deux fois 3 minutes par jour) ou qu’on se savonne sous la douche, laisser couler de l’eau potable est inutile. 11 % de la population mondiale, soit 768 millions d’individus, n’a pas accès à l’eau potable… C’est un luxe à utiliser avec parcimonie, autant que faire se peut. Si besoin au début, se coller un post-it sur le miroir de la salle de bain peut aider.
Également, essayez de limiter sérieusement les bains. On se réserve ce petit plaisir une fois par mois, car cela utilise une quantité d’eau astronomique assez évitable. Et si vous chantez sous la douche : le temps de deux chansons, max !

2 – L’éclairage

Éteindre la lumière quand on quitte une pièce est un réflexe à adopter. Avons nous vraiment besoin d’allumer toutes les pièces de notre foyer, si nous n’y sommes pas ? J’ai pris l’habitude de toujours éteindre derrière moi quand je sors d’une pièce si je n’y retourne pas dans les deux minutes. D’ailleurs, le soir venu, je limite les lampes allumées; elles sont toutes pourvues d’ampoules basse consommation, de façon à respecter l’environnement. Dans la mesure du possible, essayez de choisir des produits avec l’écolabel européen (logo d’une petite fleur avec un euro au milieu). Les ampoules fluocompactes dites “basse consommation” et néons se recyclent, ce qui n’est pas le cas d’une ampoule classique à incandescence ou d’une ampoule halogène.

3 – La lessive

Limiter les lessives en machine à laver et prendre l’habitude de ne pas sécher le linge en sécheuse : cela génère beaucoup trop d’énergie inutile. Un étendoir à linge fait tout aussi bien l’affaire, surtout en été : votre lessive sera sèche en un claquement de doigts ! Pensez à ne pas surcharger en lessive ou adoucissant pour le linge et ne pas faire tourner une lessive pour trois t-shirts…

4 – Les déchets

Cela paraît évident mais pourtant il faut passer au tri sélectif systématiquement. Voici les bases, pour y comprendre quelque chose :

  • Dans la poubelle marron : les détritus quotidiens non recyclables.
  • Dans la poubelle jaune : le carton/ papiers et journaux/ bidons et bouteilles en plastique/ les briques de lait et jus de fruits/ les boîtes métalliques et conserves/ aérosols.
  • Dans la poubelle verte ou les conteneurs dédiés : le verre. Bouteilles et bocaux vides, rincés.
  • Les piles, les médicaments sont à rapporter chacuns dans des lieux dédiés : bac à piles usagées dans tous les supermarchés, boîtes et plaquettes de médicaments périmés en pharmacie. Ne jamais les jeter à la poubelle.

5 – Astiquez !

On oublie l’eau de javel ! Certes désinfectante, elle contient néanmoins du chlore, nocif pour votre santé et pour l’environnement. Privilégiez le vinaigre blanc ou le bicarbonate de soude. Recette express pour nettoyer les tâches, pour fabriquer vous même votre produit nettoyant 100% naturel : dans un seau, mélangez une cuillère à soupe de vinaigre blanc, une cuillère à soupe de bicarbonate de soude, une cuillère à soupe d’huile essentielle de votre choix pour la bonne odeur, puis ajoutez un litre d’eau chaude. C’est prêt, à votre éponge ou serpillère !
Pour nettoyer notre parquet d’époque (1930) nous n’utilisons que de la cire d’abeille écologique. Rien d’autre et surtout jamais d’eau : bois et eau ne font pas bon ménage (ha ha !). Le vinaigre blanc fait des miracles sur le carrelage. Usez et abusez-en dans votre salle de bain, pour le sol et les sanitaires. Il vous aidera également à désentartrer votre pommeau de douche ou les robinets, souvent plein de calcaire. Laissez le agir un moment et rincez.

6 – Avoir un chat

Pour la maison de toilettes de Batman, j’ai déniché de la litière végétale et agglomérante très absorbante. Ultra pratique d’utilisation, elle se jette directement dans les toilettes lorsqu’elle est souillée. De fait, plus besoin d’utiliser de sac en plastique pour jeter la litière sale et finies les mauvaises odeurs dans le sac poubelle ! Cette litière est compostable et 100 % biodégradable sans aucun additif artificiel et chimique. Le top. Batman est un chat facile : il s’adapte à toutes les litières et toutes les croquettes qu’on a pu lui proposer. Malgré le fait qu’il “sème” des copeaux de cette litière dans la salle de bain et ailleurs, nous l’avons tous plus que validée. Cela fait maintenant deux ans que je lui en rachète tous les 6 mois (3 paquets de 4,5kg à chaque fois).

7 – Et les vêtements ?

Régulièrement, je me débarrasse des vêtements et chaussures que je ne porte plus. Outre les fameux Vide Dressing en direct ou mon Vide Dressing en ligne, qui font des heureuses parmi vous (mais demandent beaucoup d’organisation, de l’énergie et de temps), je donne. Si vous désirez faire don de ce qui vous encombre, il existe plein d’associations comme le Secours populaire, Emmaüs ou bien la Croix Rouge. Plus d’infos sur leur site respectif.

8 – La voiture

Réduire la pollution de l’environnement en limitant ses trajets en voiture. Nous habitons sur un boulevard très passant : matin et soir aux heures de pointe, ce sont des milliers de voitures avec souvent une seule personne à bord, qui roulent. Les trajets domicile-bureau peuvent pourtant faire l’objet de co-voiturage ou simplement être évités en utilisant les transports en commun, un vélo… Je n’ai pas de voiture et pas le permis de conduire, donc cela me semble facile à dire, mais si chacun faisait l’effort de se rendre à son travail autrement qu’avec son automobile/ son scooter/ sa moto UN JOUR par semaine, cela serait formidable, non ? Moins de pollution, moins de stress, moins de bruit, moins d’accidents, moins d’incivilités. Secrètement je rêve de m’expatrier à Amsterdam en fait. 🙂

9 – Locavore

Essayer de consommer local, le plus possible. C’est certainement le plus compliqué, car faire ses courses relève de plus en plus du parcours du combattant : entre scruter les étiquettes au dos des produits pour traquer les saloperies type huile de palme ou autres, regarder d’où viennent les fruits et légumes, s’ils sont bio, combien de calories dans tels yaourts moins chers que leurs voisins, les dates de péremption, etc. C’est compliqué mais pas impossible. Vive le “Made in France”, le “Origine France” et si en plus vous avez l’occasion de tester les AMAP ou encore La Ruche Qui Dit Oui, de façon à acheter directement au producteur : bingo !
Enfin, ralentir voire stopper sa consommation de viande : il faut 13 500 litres d’eau pour 1 kg de viande de bœuf… Ce chiffre ne vous fait pas froid dans le dos ? L’agriculture a besoin de quantités d’eau plus ou moins importantes selon les besoins des végétaux, des animaux et de la nourriture de ces animaux. À ces besoins en eau des organismes s’ajoutent ceux des processus de transformation des aliments, comme l’eau utilisée pour nettoyer les abattoirs, par exemple. Bref, limiter la viande à un repas par semaine est déjà un énorme pas en avant pour réduire le gaspillage en eau et préserver des vies. J’ai cessé d’en manger il y a deux ans et demi maintenant.

10 – Les cosmétiques

Quotidiennement, nous les filles, utilisons des produits et accessoires pour nous maquiller et démaquiller. Si je faisais partie de celles qui utilisent des disques de coton, c’est terminé. Ma sœur m’a fait découvrir les disques démaquillants lavables bio ! Au lieu de jeter les disques de coton que vous utilisez pour vous démaquiller, ceux là vous les lavez à la main ou en machine. Hop :  écolos à fond ! Les miens viennent de chez Naturalia et quelles économies je fais ! De plus, en portant depuis juin des extensions de cils, j’ai totalement changé ma façon de me démaquiller. Le coton étant interdit sur les yeux, si on veut garder ses extensions, j’utilise un démaquillant sur visage mouillé, que l’on frotte doucement et qui se rince à l’eau.
Enfin, last but not least, utiliser des cosmétiques vegan (ne contenant rien d’origine animale) bio et cruelty free (n’ayant pas été testés sur les animaux) est le meilleur conseil que je puisse vous donner. Scrutez le logo avec le petit lapin au milieu d’étoiles (Leaping Bunny), le lapin “cruelty free” ou encore la simple mention “non testé sur les animaux”. Ce super Document très bien fait vous renseignera en cas de doute sur les marques clean ou non. En revanche je suis en total désaccord avec le fait que Melvita et Weleda y sont rayéee : ces marques ne testent PAS sur les animaux.

J’espère que cet article vous donnera des idées ou à défaut, vous rappelera des petits gestes routiniers à adopter. Il manque évidemment beaucoup de choses, mais les commentaires sont ouverts et j’ai hâte de vous lire, si vous avez à votre tour des conseils à prodiguer, des astuces ou souhaitez partager votre routine écolo !

Helloitsvalentine_2Foulard issu de la Gambettes Box de juin
T-shirt Zara Trafaluc

Sources utiles à la rédaction de mon article :

http://www.ecoemballages.fr/grand-public/trier-cest-facile/le-guide-du-tri
http://www.topsante.com/forme-et-bien-etre/environnement/maison-ecolo/8-astuces-pour-prendre-soin-de-sa-maison-version-ecolo-9044
http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/qr/d/eau-faut-il-litres-eau-produire-932/
http://www.viande.info/elevage-viande-ressources-eau-pollution
http://www.madmoizelle.com/test-disques-a-demaquiller-lavables-94792
http://forums.madmoizelle.com/sujets/les-cosmetiques-non-testes-sur-les-animaux.83560/
http://cav.asso.fr/cruelty-free/list.html
http://label.one-voice.fr/

Road trip en Californie #4 : Yosemite (ou pas)

Helloitsvalentine_yosemite_road_0J’avais posté un unique Instagram, légendé d’un immense paragraphe, pour vous raconter nos péripéties d’un jour à propos de Yosemite National Park, souvenez-vous.
Ce parc étant sur notre “to do” list du voyage, je tenais à vous en parler dans un article dédié malgré ma déception et le fait que cette étape n’a finalement pas eu lieu. Dans la continuité de ne pas toujours parler que de sujets positifs et trouver que tout est génial, ce post sera mon petit “coup de gueule”, à l’image de mon immense déception durant notre voyage en Californie.
Nous avions réservé à l’hôtel White Chief Mountain Lodge (un 2 étoiles) via Booking.com, situé au 7776 White Chief Mountain Road, Fish Camp, CA 93623. C’est à Mammoth Lakes que nous devions nous rendre, notre GPS pourvu d’une voix féminine à l’accent québécois (merci Zaz pour ce prêt fort utile !) nous indiquant la route à emprunter. Partis vers 10h du matin de San Francisco, à bord d’une Chrylser S200 de location, c’est enchantés que nous laissions la ville derrière nous pour un peu de nature sauvage et de randonnée. Ou pas. (Teasing de folie….)
Helloitsvalentine_yosemite_road_1La route est assez longue entre ces deux destinations (environ 6 heures) mais les paysages sont incroyables. Musique à fond, arrêt dans un immense Walmart pour faire le plein de nourriture, boissons, petit moulin à vent d’enfant à 0,90$ pour moi et fringues Dickies pour Monsieur, l’humeur était au beau fixe, on avait hâte d’arriver. Après environ cinq heures de route, nous arrivons au “péage” de Yosemite : une cahute en bois tenue par une femme au chapeau de ranger. Taxe d’entrée : 30$. BIM ! Nous ométtons naïvement de lui donner notre destination, le GPS nous indiquant encore 1h30 de trajet. On était confiants. À partir de là, la météo se dégrade, il se met à bruiner, puis pleuvoir à verse, puis neiger…. On se dit que c’est un peu chiant, je porte des sandales et Adrien est en t-shirt. Plus loin, le GPS nous indique de tourner à gauche : ah ok, mais impossible, nous tombons sur un panneau en travers du chemin “Road closed” (=Route barrée). On repère une autre cahute en bois, qui fait office de magasin/ station de route et je fonce en sandales en courant sous la neige, demander à un autre ranger, quelle itinéraire bis emprunter pour arriver à Mammoth Lakes. Notre GPS, lui, est catégorique : il ne nous indique que la route barrée et rien d’autre.
Problème : il neige très fort, il va nous falloir emprunter une autre route qui fait touuuuuuut le tour du parc, afin d’emprunter la seule route ouverte. Ce trajet prend 7 heures. Il est alors déjà 16h…

Helloitsvalentine_yosemite_road_2Helloitsvalentine_yosemite_road_3Je vais résumer car cela risque d’être trop long, mais après avoir décidé d’y aller quand même, malgré la fatigue et la météo qui se dégrade, on fait un pit stop (on prend de l’essence dans une station) et là, la dame derrière le comptoir nous annonce que non, toutes les routes pour Mammoth Lakes sont fermées et que celle qu’on nous a indiqué n’est pas ouverte à la circulation. On a envie de chialer, il va faire nuit et on est super déçus de la mauvaise communication des “professionnels” dans Yosemite. Bye bye les 30$ de taxe qu’on ne reverra pas. C’est juste dommage qu’on ne nous ai pas demandé où nous allions, afin de nous éviter de perdre du temps, de l’argent et de l’énergie en roulant des heures à la recherche d’un trajet. On dirait que ce n’est pas leur job de renseigner les visiteurs du parc, juste d’encaisser leurs sous. Ah pardon, on a eu une carte du parc, contre ces 30$, cela dit… J’étais surtout en colère contre moi-même de n’avoir pas du tout pensé à checker la météo avant de prendre la route, Mammoth Lakes étant une station de ski en hiver et station de rando en été. En demie-saison, c’est déserté des touristes. Mai fait partie de la demie saison, où la météo est encore très incertaine, on aura compris.

Helloitsvalentine_yosemite_road_6Helloitsvalentine_yosemite_road_5Helloitsvalentine_yosemite_road_8Je réussis à joindre l’hôtel par téléphone, un monsieur très gentil me répond qu’il a eu beaucoup d’annulation ce même jour, à cause du mauvais temps. Il nous conseills de rebrousser chemin, nous apprenant que Yosemite vaut la peine d’y venir plus longtemps que 48h et que la neige ne nous permettra pas de profiter. Booking me confirme ensuite l’annulation de nos 2 nuits, sans aucun frais et avec plein de mots rassurants, nous souhaitant de conduire prudemment suivi d’un “be safe”. J’adores les américains, même s’ils en font parfois des tonnes, mais cette extra empathie du moment nous rebooste un peu et je suis soulagée de ne pas avoir à payer pour deux nuits d’hôtel où nous n’iront pas. Merci Booking pour ce professionnalisme, je repasserai par vous c’est une évidence !
Nous finissons donc la journée en trouvant un motel très correct (le Best Western Inn à Manteca) pour DORMIR et réfléchir aux deux jours à venir. Nous avons jeté notre dévolu sur Santa Cruz. Mais ça, je vous en parle dans mon prochain article…

Un immense MERCI à toutes celles et tous ceux qui s’était manifestés sous mon Instagram désespéré, à propos de Yosemite. J’avais trouvé ça adorable que vous nous donniez plein de conseils sur où aller, quoi faire, où manger, votre propre expérience, associés à des petits mots d’encouragements et de soutien dans ces péripéties de voyage.
C’était la première fois que nous faisions un road trip, je n’avais jamais expérimenté ce genre de “fail” et vous lire m’avait vraiment fait du bien. On s’était rendu compte qu’on n’était pas seuls du tout dans ce style de galère et savoir que plein de choses super cool nous attendaient nous a bien remonté le moral.
Merci d’être là, de me suivre, de me lire, d’être bienveillantes. À très vite pour la suite de nos aventures en Californie ! Yosemite, on reviendra !!!

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