Résultats de la recherche pour : Boots

Team Petite !

♪♫♪♪♫♪ L – Petite ♪♫♪♪♫♪

On remerciera la nouvelle fonctionnalité InstaStory avec ses sondages auxquels tout le monde peut répondre en votant par “OUI” ou “NON”. Par ce biais, j’ai reçu une large majorité de “OUI” en réponse à ma question “Un article sur comment s’habiller lorsque l’on est petite vous intéresse t-il ?” 🙂

Mesurer un peu moins d’1,60m n’a jamais été un réel problème dans ma vie, au quotidien. Je ne vois pas cela comme une tare, au contraire. J’ai souvent plus de place que les autres pour mes jambes dans les trains, avions, bus… Au delà de ça, nous ne choisissons pas cela dans notre physique, alors mieux vaut clairement faire avec ! Ma taille n’étant pas un complexe, je m’habille comme je le veux et ce depuis quasiment toujours. Après tout, la vie est courte, les gens nous jugent quoi que l’on fasse (ou que l’on ne fasse pas d’ailleurs) alors pourquoi s’empêcher de se mettre ce qu’on aime sur le dos ?
Il est en tout cas certain que mon blog m’a énormément permis de m’émanciper stylistiquement. Le fait de “devoir” vous présenter des tenues ici m’a poussée à oser. On ne niera pas mes faux pas, je vous laisse décider s’ils ont été nombreux, cela n’a pas d’importance pour moi. Il faut se tromper, dans tous les domaines, pour arriver à ce que l’on aime, pour soi.
Le prêt-à-porter est un jeu, un très vaste terrain de jeu sur lequel je m’éclate littéralement depuis des années. Croyez bien que cela a commencé longtemps avant que je démarre “Hello it’s Valentine” en juin 2009 !

D’ailleurs, même si je crois l’avoir déjà écrit ici, au collège j’étais la seule à m’habiller “baba cool” en troisième. Rien d’original en soi, mais dans mon collège, j’étais je crois la seule à “oser” alors que la tendance était aux affreux bombers “Schott” et aux ignobles chaussures à plateformes “Buffalo”. Cela m’avait donc valu un joli graffiti au marqueur sur une des portes du collège : “Valentine la clocharde“. Je détonais trop, apparemment… L’année suivant, la fille qui avait écrit ça arrivait au lycée dans lequel j’étais déjà, habillée elle aussi en “baba cool”… ^^ “La critique est l’art d’admirer” selon Henri Boucher (issu de “Pensées et réflexions” – 1866) 😉

Toujours est-il que je rejette en bloc l’idée de devoir coller à des attentes, porter une uniforme au quotidien, devoir se fondre dans la masse pour passer inaperçue. Je trouve cela extrêmement triste et dommage, cela équivaut à s’effacer soi, pour ne pas être remarqué(e) ni regardé(e).
Alors quand je vous lis en privé, me remercier de vous avoir aidées à oser, quelle récompense !
Oser un rouge à lèvres très vif, oser des mix and match d’imprimés, oser un kimono, oser vous faire une coiffure que vous ne vous faites jamais, oser porter une combi-pantalon en était petite… J’ai côtoyé des nanas grandes; oui elles portent tout très bien car les vêtements “tombent” mieux sur elles. Est-ce que pour autant j’ai trouvé qu’elles avaient systématiquement de l’allure, de la grâce ou du charisme ? Absolument pas. Cela n’a rien à voir avec la taille que l’on fait.

J’avais lu dans la salle d’attente d’un médecin il y a des années, un article dans un magazine féminin type Marie-Claire, au sujet de jeunes asiatiques se faisant opérer les tibias pour se faire rallonger les os… J’en garde un vif souvenir, tant les photos et le texte m’avaient choquée. Elles devaient rester alitées durant des mois, pour que leurs os se reconstituent après avoir été sciés. Souffrance inimaginable ajoutée à un résultat inesthétique au possible : leurs cuisses et leurs bras restaient courts, eux. J’ai ressenti énormément d’empathie pour elles, qu’on se torture sciemment ainsi me paraît toujours, des années après, fou. Autant que possible, assumons à 300% d’être nous, avec nos cm “en moins”, cela ne doit pas être un critère sur l’échelle de notre bonheur personnel.

Cela dit en écrivant cet article, je réalise que je suis assez mal à l’aise avec les conseils. Ils ne sont jamais une vérité générale et je ne me sens pas forcément légitime pour me poser en conseillère en chef. ^^
Pour rester vague, ce qui me vient avant tout est de vous diriger plus directement vers les onglets “Petite” de certaines marques anglo-saxonnes. Je pense à Asos, New Look, Topshop, Miss Selfridges. Les sites asiatiques comme SheIn, Oasap et Romwe proposent des vêtements taillés pour des nanas de moins d’1,60m.
Je me rends au rayon Kids chez Zara, Boden ou Mango, pour ma part. J’y trouve des vêtements en taille 13-14 ans (équivalent à un 36) et je suis enchantée de ne pas les retrouver sur beaucoup de femmes adultes 😉
Enfin, dernier conseil utile : vous dénicher un retoucheur dans votre quartier. Le mien est une perle, il est Bangladais et est lui-même petit (je pense qu’il doit faire moins d’1,65m). Alors à chaque fois que je reviens le voir avec des vêtements, je n’ai même plus besoin de lui expliquer le souci. hé hé. Il sait ce qu’il doit faire : je lui apporte un jean “témoin” pour qu’il se calque dessus et il me retouche les jeans à la même “longueur” (riez avec moi) et la même largeur à la cheville. Il travaille hyper bien, mais il est couturier à la base donc ça aide.

Je conclurais sur cette parfaite citation de Gérard Holtz “L’important, c’est de ne pas être petit dans sa tête.” Ha ha ha !
Que vous soyez “team petite” ou non, merci de me lire ici, merci de me soutenir, de m’écrire chaque jour ici ou en privé,  vous êtes des amours. ♥

SHOP TA COMBI À FLEURS :

Combi-pantalon via Missguided (prise dans ma taille habituelle, pas besoin d’ourlet)
Boots en simili Zara (collection actuelle)
Lunettes Zara (achetées cet été)
Boucles d’oreilles via Loveless Paris
Sac “Zoé” vegan via Flore et Line

SHOP TA COMBI À FLEURS :

J’ai arrêté d’engranger du cuir

Cet article fait en quelque sorte “écho” à mon post “Je ne porte pas de fourrure” publié en 2013. J’aurais fort bien pu l’intituler “je n’ai jamais porté et ne porterai jamais de fourrure”. ^^
Ici, je vais parler de cuir, le sujet est donc différent car j’ai porté et porte encore des accessoires en cuir (bouuuh !) En revanche, et j’ai l’impression de radoter à fond : je n’ai rien reçu ou acheté qui soit en cuir depuis un an. J’ai un mail “type” pour refuser poliment les cadeaux de maroquinerie qu’on me propose quasiment tous les jours.
Pendant environ 3 semaines, j’avais apposé dans ma bio Instagram “NO FUR & LEATHER” afin d’essayer de ralentir justement les propositions trop récurrentes que je reçois. Cela n’a absolument pas fonctionné; la plupart des marques contactent les blogueuses, sans forcément se renseigner 2 minutes sur leur profil. Nous sommes toutes différentes et fonctionnons aussi différemment.
Aussi, j’avais très à coeur de publier à ce sujet, car sujet sensible à mes yeux. Le cuir est devenu une matière banale, normale à acheter, aussi fréquente qu’associée à l’univers du luxe. Je rejette cela en bloc et ne veux plus participer à cette industrie hyper polluante et cruelle. Le fait d’être végétarienne amène forcément à réfléchir plus loin que le bout de son assiette, et même si mon cheminement peut sembler long aux yeux de certain(e)s végan(e)s qui me suivent, l’important est que je fais ma part, tel le colibri. ^^
La mode évoluera si les entreprises et les consommateurs saisissent l’importance de changer de paradigme en agissant dans leurs faits et gestes au quotidien.
Pour illustrer cet article, pas de photos “choc” mais un look garanti 100% simili !

Le cuir provient de quels animaux ?

“Issu du tannage de la peau d’animaux d’élevage (vaches, moutons, chèvres, kangourous, autruches, crocodiles, alligators…) le cuir est un matériau issu de la souffrance animale mais aussi humaine lorsque cette industrie est délocalisée dans des pays du tiers monde. De plus, la fabrication du cuir est à l’origine d’importants problèmes environnementaux.” (source).

Les cuirs s’obtiennent aussi à partir de reptiles (crocodiles, lézards, serpents…) ou de poissons cartilagineux (galuchat). PETA ajoute à cette liste : “les chevaux, les agneaux, les cochons, les chiens et les chats.” (source)
“En portant du cuir, nous cautionnons des pratiques d’élevage industriel faisant fi de la souffrance animale. Le transport des animaux vers l’abattoir s’effectue dans des conditions atroces la plupart du temps et l’abattage (…) reste extrêmement violent. De plus, les peaux sont également achetées en masse à des pays qui sont beaucoup moins regardant quant aux conditions de transports et d’abattage des animaux. ” (source)
Les bases sont posées. On ne peut plus ignorer que cette matière est synonyme à 300% de souffrance animale et humaine, de catastrophe écologique, tout en restant parfaitement “normale” à voir et à acheter très facilement, dans quasiment tous les magasins…

Le cuir en quelques chiffres

“Pour une paire de chaussures, il faudra parcourir le globe : produire la matière première aux USA, tanner le cuir au Bangladesh, assembler le tout en Chine, et enfin la vendre en Europe.
Question chiffres (cuirs et peaux bruts) :

  • les États-Unis sont les premier exportateurs de cuir ;
  • la Chine est le premier importateur ;
  • la France est le troisième exportateur mondial (soit 6,1% des exportations mondiales) ;
  • la France est le 11ème importateur mondial (soit 2,0% des importations mondiales).

L’ensemble de ces échanges ne facilitent pas la traçabilité : le cuir est une industrie opaque.” (source)

“Pour que la peau d’une vache devienne du cuir, plusieurs étapes sont nécessaires. Depuis le début du XIXe siècle, c’est le tannage au chrome qui est le plus largement utilisé. Cette méthode se révèle la plus rapide et la plus stable : la transformation d’un cuir peut être observée en 24 heures, alors qu’il faudra 30 jours pour tanner un cuir avec des substances végétales.” (source)

“(…) l’industrie de la chaussure consomme plus de la moitié (53%) du cuir mondial.” (source)

“Les dépouilles et les peaux du bétail, moutons et chèvres proviennent principalement de plus de 35 millions de bovins qui sont abattus et consommés chaque année et des vaches laitières qui sont tuées une fois qu’elles ne sont plus rentables pour la production laitière.”

Enfin, le tannage d’un kilogramme de cuir exige au moins 35 litres d’eau.

Cuir = souffrance animale et humaine

“Un enquêteur de PETA Asie a montré ce qui se passe dans les abattoirs de chiens à l’Est de la Chine. Les images obtenues par l’enquêteur montrent que, les uns après les autres, les chiens sont violemment attrapés par le cou avec des pinces en métal et matraqués sur la tête avec un gourdin. Certains chiens perdent connaissance pendant que d’autres hurlent et agonisent, grièvement blessés à la tête. D’autres suffoquent après avoir été égorgés. Enfin, ils sont dépecés. L’enquêteur de PETA Asie a même vu des employés dépecer des chiens encore vivants.

Les chiens qui s’apprêtent à se faire dépecer peuvent sentir, entendre et voir ce qui arrive à ceux qui les précèdent. Nombre d’entre eux sont tellement terrifiés qu’ils montent les uns sur les autres dans la zone d’attente, cherchant désespérément une sortie de secours.

Un employé de l’abattoir a confié à l’enquêteur de PETA Asie qu’il tuait jusqu’à 200 chiens chaque jour. Quand la vidéo a été tournée, il y avait 300 chiens vivants en attente d’être abattus. Selon les informations obtenues par l’enquêteur de PETA Asie, la peau de chien est transformée en gants de soirée pour femmes, gants de travail pour hommes, chaussures, ceintures, garnitures de col de manteaux et d’autres produits exportés de par le monde. Bien sûr, aucune entreprise ne va indiquer que ses gants ou ses ceintures sont faits à partir de peaux de chiens. Un propriétaire d’une des usines de transformation a confié à l’enquêteur de PETA Asie que ses produits étaient commercialisés en les faisant passer pour de la peau d’agneau. Si vous achetez du cuir, à moins de faire un test ADN, il n’y a quasiment aucune façon de savoir ce que – ou plutôt qui – vous portez.

Parce que le cuir est le dérivé le plus rentable de l’industrie de la viande, acheter du cuir contribue directement à l’élevage intensif, aux abattoirs et à toute la cruauté que cela génère. Les animaux, élevés dans des élevages industriels crasseux et surpeuplés, sont souvent en cage et privés de tout ce qui est naturel et important pour eux, comme rechercher de la nourriture et élever leurs petits. La plupart d’entre eux subissent des mutilations douloureuses, comme avoir leurs dents, queues et testicules coupées et être décornés et débecquetés sans traitement antidouleur. Les femelles sont constamment inséminées artificiellement et leurs bébés, terrifiés, leurs sont enlevés peu de temps après la naissance. À l’abattoir, une partie des vaches, cochons, poulets et moutons sont égorgés alors qu’ils sont toujours conscients et qu’ils ressentent la douleur.” (source)

Cuir = pollution

“En plus d’être responsable de l’abattage de millions d’animaux chaque année, l’industrie du cuir -comme celle de l’élevage industriel- est responsable de beaucoup de dégâts sur l’environnement. Le tannage a la réputation non enviable d’être l’une des industries les plus immondes et nauséabondes. Cette réputation repose sur des caractéristiques des villages de tannerie vieilles de 100 ans mais qui persistent encore.” (source)

Le tannage pollue les rivières et les nappes phréatiques. Les tanneries utilisent une importante quantité d’eau et de composés chimiques (pour certains toxiques) afin de façonner, assouplir et teinter les peaux avant leur commercialisation.
En Tunisie, sur 440 entreprises, seules 2 possèdent un système d’épuration. De plus, ces tanneries n’offrent peu ou aucune protection aux travailleurs (parfois des enfants) qui barbotent à longueur de journée dans les produits toxiques. La plupart souffrent de graves problèmes de santé et au Bengladesh, on estime que 90% des ouvriers ne dépasseront jamais les 50 ans. Dans ce pays, on exporte chaque année l’équivalent de 141 millions d’euros de peaux tannées, majoritairement vers l’Europe afin d’alimenter une industrie de la chaussure et de la maroquinerie bon marché. ” (source)

“D’abord, les peaux fraîches sont recouvertes de sel lorsqu’elles arrivent à la tannerie. Elles sont ensuite rincées, épilées, puis plongées dans un bain de chrome III. Après ce petit plongeon, les peaux qu’on désigne par Wet blue sont devenues imputrescibles. Les peaux sont enfin colorées, huilées, réhumidifiées puis lissées. Le cuir chromé résiste à l’eau, à la chaleur et il peut être bouilli sans se dénaturer.
Mais le chrome III ou trivalent qui n’est pas nocif à la base le devient lorsqu’il est associé à d’autres substances. Il se transforme alors en chrome VI ou hexavalent, très allergisant, pouvant même s’avérer dangereux pour la santé.
Le chrome VI peut engendrer des démangeaisons légères jusqu’à des dermatoses plus importantes comme l’eczéma de contact et même une surinfection. Ce type de dermatose peut évoluer gravement jusqu’à devenir handicapante. Si le chrome VI est un sérieux allergène pour la peau, il est en outre très dangereux lorsqu’il est inhalé. Si le consommateur n’est pas exposé directement à l’inhalation de cette substance, en revanche, les ouvriers qui travaillent dans les tanneries le sont, alors que le chrome VI est cancérogène pour les voies respiratoires et la cavité nasale.

Selon une enquête menée par France 5, au moins 30 % des chaussures en cuir que nous achetons en France contiendraient du chrome VI.

Les enquêteurs ont ainsi fait tester 10 paires de chaussures en cuir (dessus et intérieur) de toutes les gammes – avec des prix allant de 25 à 200 euros – auprès d’un laboratoire de Genève. Au vu des résultats, on comprend qu’il est tout à fait possible de produire du cuir sans résidu de chrome VI puisque 7 paires sur 10 n’en contenaient pas. Du moins pas en quantité décelable. En revanche, les modèles vendus par Carrefour, La Bottine Souriante et surtout Éram en contenaient une concentration très importante.” (source)

Quelles sont les alternatives au cuir ?

“Le cuir artificiel/synthétique/vegan ou encore faux cuir, conçus à base de plastiques ou de fibres végétales. En comparaison avec les cuirs bas de gamme, le synthétique reste tout de même le meilleur choix. Les filières pétrochimiques sont davantage contrôlées et les produits peuvent être de très bonne qualité.” (source)
Liège, champignons, ananas, eucalyptus, produits synthétiques : les alternatives au cuir sont en plein essor ! Guettez les deux derniers pictogrammes de cette fiche, présents obligatoirement sur les étiquettes transparents collées sur les semelles des chaussures ou les étiquettes des sacs, portefeuilles, etc. :

Quelles marques de prêt-à-porter son fiables ?

Voici un article de blog parfait, contenant 22 marques véganes idéales, pour une alternative au cuir. Merci et bien joué, Angélique !

Et moi, et moi, et moi ?

Eh bien en ce qui me concerne, le “déclic” s’est fait sur le long terme. Cela ne m’a pas pris un matin au réveil, mais j’ai saturé de recevoir de façon trop répétée des mails me proposant de cadeaux à la chaîne. Cela ne s’est pas arrêté du tout, mais au lieu d’accepter (avec joie et surtout sans réfléchir) j’ai maintenant la conviction que le cuir n’est pas une matière noble, luxueuse ou en accord avec mes convictions personnelles.
On en revient une fois de plus à notre déménagement, mais devoir vider un grand placard plus un dressing et (re)découvrir tout ce qui y était entassé… un ras-le-bol m’a envahie. Overdose de chaussures et de sacs, que je ne porte plus. J’ai fait un constat très simple : STOP.
Depuis un an donc, je refuse la maroquinerie, je réponds que je n’ai pas besoin d’accessoire en cuir. Les mentalités n’évoluent pas très vite. La plupart des gens sont persuadés que le cuir est indispensable, que seul le cuir convient à leurs pieds sensibles, qu’un sac à main en cuir est de meilleur qualité que du simili et se rassurent ainsi, pensant faire le bon choix de consommation.
Je sais que la route sera encore très longue pour les animaux, qu’il va y avoir encore des milliards de meurtres abjectes et inutiles, pour réapprovisionner les étals des magasins. C’est trop ancré dans les esprits que la peau d’animal est la matière indispensable pour ranger ses affaires ou marcher dans la rue.

Je vous invite de tout mon coeur à essayer de repenser votre schéma de consommation et de tester un sac et/ou une paire de chaussures en synthétique, garanti sans cruauté animale. Oui, cela sera peut-être plus cher que du cuir, mais pas forcément. Oui, cela vous fait sortir de vos habitudes et de votre zone de confort. Oui, vous en reviendrez peut-être à vos boots en cuir, in fine. Mais vous aurez essayé et sûrement qu’essayer quelque chose, c’est l’adopter. Dans mon cas, c’est un grand “oui !”

Concernant mon sac Flore et Line, il est en liège. Il s’agit bien du même liège que celui des bouchons de bouteilles ! “Ce matériau souple et résistant peut aussi être façonné comme du cuir. Il est en plein essor par exemple au Portugal, où de nombreux articles (sacs, ceintures, bijoux, objets, chaussures, etc) sont fabriqués en liège.
Le liège est l’écorce superficielle de l’arbre chêne-liège. Prélevée environ tous les 12 ans, elle ne nuit pas à l’arbre, et le processus de fabrication est écologique et éthique. L’arbre est en plus un puits de carbone d’autant plus efficace qu’il est utilisé pour produire du liège.” (source)

Plein de matières végétales, alternatives au cuir à découvrir ici. Vivement que le cuir d’ananas (appelé piñatex) soit plus répandu ! 🙂


Pour en savoir (et en voir) plus (attention images choquantes mais bien réelles) :


J’espère que cet article aura pu vous faire un peu réfléchir, prendre conscience de ce que vous portez, si vous achetez du cuir sans même y penser. Les commentaires sont, comme d’habitude, ouverts à la discussion. Ils seront modérés en cas d’insultes, de propos « hors sujet » et d’agressivité inutile. Merci de rester courtois(ses), si vous vous manifestez. J’ai bien conscience que ce sujet sensible va éveiller des réactions outrées.
Je ne suis pas dans le jugement d’autrui, mais j’aspire à essayer d’être pédagogue ou du moins d’essayer de vous faire réfléchir personnellement à votre façon de consommer.
Sachez que je suis toute disposée à répondre à quelqu’un qui souhaite repenser sa façon de faire. Car, comme c’est trop souvent le cas, répondre à quelqu’un qui fait preuve d’intolérance ou d’irrespect dans la formulation de son commentaire, cela augure mal, vous en conviendrez.

Je porte :
Manteau Georgina via Boden (pris en PETITE taille 36)
Pantalon 7/8ème Mirabelle via Boden (pris en PETITE taille 36)
Blouse en dentelle Easy Clothes
Sandales YesStyle en simili suede
Sac “Zoé” en liège via Flore et Line

Love is blindness

♪♫♪  Lee-la Baum – Love is blindness ♪♫♪

Ce bomber a été un véritable coup de foudre. Je l’ai vu, je l’ai acheté, depuis je ne le quitte plus. C’est ce que j’enfile par dessus quasiment toutes mes tenues en ce moment, il remplace un manteau (il ne fait plus assez froid pour ça) mais suffit à tenir chaud en attendant que l’on puisse sortir sans rien par-dessus un pull fin. Sa doublure rouge coquelicot est le détail qui a achevé de me faire craquer ! Une touche de rouge à lèvres, et voilà un joli rappel qui attire le regard.
En touche finale, ce serre-tête doré façon couronne de feuilles, absolument ravissant. Voilà pour aujourd’hui, j’ai hâte de vous présenter bientôt des looks plus printaniers…

SHOP MON LOOK :


Bomber long et body noir Zara (collection actuelle)
Jean “Mom” Urban Outfitters (old)
Boots en simili Asos (old)
Serre-tête H&M
Boucles d’oreilles et bague chevalière via Loveless Paris
Sac Céline

SHOP MON LOOK :


5 looks avec une chemise

Pas toujours facile de savoir comment porter sa chemise. Quel type de blouses choisir pour aller travailler, pour sortir, ou pour porter ouverte sur un t-shirt ou un top lingerie avec un jean en mode “casual chic”. Pas simple non plus de savoir quel bas (jupe, jean, pantalon…) associer à notre blouse pour se créer un look parfait ! Ici je vous propose 5 façons de porter cet incontournable de la saison !
J’ai pioché dans la nouvelle collection printanière Kookaï 5 chemises très différentes. Des unies, des imprimées, certaines avec le col brodé ou un détail ajouté. Bref, je vous laisse découvrir chaque tenue individuellement.

♪♫♪ The four tops – Reach out I´ll be there ♪♫♪

Café parisien – Décontracté chic
Une chemise blanche est un classique à avoir, mais une chemise blanche avec un col chats, c’est tout de suite moins banal ! J’adore ces silhouettes de félins qui s’étirent ou semblent prêts à bondir, joueurs. Un joli détail qui ne vous laissera pas indifférente si vous aimez les matous. Ici, j’ai supperposéle sweat “Coucou” dont le ravissant détail se situe au niveau des manches et en bas. Un jean enduit noir, et vous avez le look idéal pour déguster un thé ou cappuccino en terrasse de café.

Chemise col chats Kookaï
Sweat-shirt dentelle Kookaï
Jean enduit Kookaï
Boucles d’oreilles via Loveless Paris

Place de la Concorde – Entre deux rendez-vous pro
Un look archi basique, qui convient pour une multitudes d’activités demandant d’être sobre et élégante. Une chemise à rayures tennis, dont le seul détail fun réside dans l’application d’un patch oeil, orné de cils (fait de fils de coton). Cela se dissimule sous une veste ou un trench, selon votre envie et la météo. Pour les matins sans grosse inspiration : chemise + jean + veste : l’association qui fonctionne.

Chemise rayé clin d’oeil Kookaï
Paletot Tulipe Kookaï
Jean “Emile” via Promod
Chapeau Mango
Derbies en simili via Promod

La Tour Eiffel – Week-end en amoureux
Une tenue sobre, twistée par mon canotier plat à ruban de velours. Certes, on distingue un peu moins bien la superbe chemise “French touch”, c’est pourquoi j’ai retiré mon chapeau. Chemise et pull, un duo archi vu et revu, mais si confortable qu’on ne s’en lasse pas. J’adore ce pull Kookaï de la collection automne/hiver : je l’ai gardé car je l’ai tellement porté que je n’ai pas voulu le rendre. Ces photos sont certainement super cliché, avec la Tour Eiffel en fond et le message brodé sur le col, mais j’assume ! Parisienne et fière de l’être.

Chemise “French Touch” Kookaï
Pull Kookaï (sold out)
Manteau long Zara (old)
Jean taille haute H&M (old)
Derbies en simili cuir Zara
Sac Stella Mc Cartney via Monnier Frères
Canotier Birds and Freesia
Lunettes de soleil Céline

Montparnasse –  En balade après la pluie
Presque un total look blanc, mais j’ai opté pour un jean gris et des baskets en wax (mieux que des talons, pour courir après le bus si besoin). Cette chemise blanche en broderie anglaise est un poème. Tellement délicate, raffinée et chic : elle sera parfaite avec une multitude d’autres vêtements, selon les occasions. Rentrée dans un jupe crayon, sous une salopette, avec un jean blanc en plein été… Pour le moment, on passe encore entre les gouttes régulièrement ! D’où le ciré ^^

Chemise broderie col claudine Kookaï
Ciré via New Look
Jean Asos (old)
Baskets via Panafrica

Beaugrenelle – À bicyclette
Le printemps arrive timidement, on peut oser tomber le manteau le temps d’un shooting ! Pratique pour mieux vous présenter cette mignonne chemise imprimée fleurs, à col contrastant. J’ai enfilé ma robette vert bouteille par dessus, afin de rappeler les touches de verts dans l’imprimé liberty. Une bien belle journée pour se promener à vélo dans Paris, en profitant du soleil à fond. C’est bon le printemps, tu peux revenir. On est prêts, tu es attendu !!!

Chemise imprimée fleurs Kookaï
Robe en velours côtelé Zara kids (old)
Boots en simili Asos (old)
Vélo hollandais via TulipBikes

Quelle tenue préférez-vous ?
P.S : Tous les rouges à lèvres que je porte sont à retrouver ici.

Green green green

♪♫♪  Bearded Skull – Green *Hip-Hop Instrumental* ♪♫♪

Des articles de blog avec des tenues composées de vert, j’en ai posté pas mal ! Petit retour en arrière avec :

Bref, j’aime le vert, car il se décline en de très nombreuses teintes et peut aller à tout le monde selon la nuance choisie. J’ai choisi de porter tous les verts qui existent, personnellement. Aujourd’hui c’est une tenue composée d’un manteau vert kaki, d’une robe vert canard et de mon chapeau vert émeraude que je publie ici. Pourquoi mixer toutes ces couleurs ensemble ? Parce que je trouve le résultat sympa, et que ce camaïeu fonctionne.
Je vous avais brièvement présenté mon chapeau “Eli” de la marque française et Made in France “Chapoleoneici ! Parmi tous les modèle proposés, et après de nombreux essayages, j’ai jeté mon dévolu sur celui-ci car il ne ressemble à aucun autre chapeau que j’ai déjà. Vous commencez sûrement à remarquer mon amour des chapeaux, vous soulignez même ma collection impressionnante et je ne peux que vous donner raison à ce sujet ! Disons que ce superbe vert émeraude se démarque vraiment, et de plus, je le trouve accessoirisable avec un large éventail de coloris. Pour ces photos, nous sommes partis à la recherche d’un lieu inédit, et nous sommes tombés totalement pas hasard sur ce jardin, situé à deux pas du pont de Bir Hakeim dans le 16ème arrondissement.
Il est complètement caché des 4 rues autour, car cernés par de très beaux immeubles de standing… Les gens qui vivent là ont beaucoup de chance. En tout cas, nous avons été tranquilles, à part deux enfants qui passaient par là avec leur ballon, le désert complet ! Parfait pour shooter.
J’espère que cette tenue vous plaira ?

SHOP UNE ROBE VERTE :

Chapeau “ELI” via Chapoleone
Manteau New Look (old)
Bomber via David Christian Madrid
Robe via Ivyrevel
Boots via Choies
Sac PS11 Proenza Schouler (old)
Vernis à ongles vegan “Kale” Kure Bazaar via Ekyog

SHOP UNE ROBE VERTE :

Follow @hellovalentine on Instagram

Copyright © 2023 · Theme by 17th Avenue

Copyright © 2023 · Amelia on Genesis Framework · WordPress · Se connecter